Les signes de la rémission

J’inaugure ici un type d’article plus court et plus spécialisé, en complément des articles précédents qui, faisant un bilan global périodique de la situation, avaient une orientation générale.

Le dernier de ces articles (« priorité au(x) stress ») soulignait notamment une nette tendance à l’amélioration de mon état de santé, une conclusion basée sur une série d’indices ou de preuves qu’il m’a paru opportun de préciser ci-après.

La contrepartie d’un recours exclusif à des moyens naturels a eu pour contrepartie une vigilance extrême en ce qui concerne l’évolution de la maladie.

I Les types d’analyse suivants ont été appliqués

1 Analyses de sang

  • la banale évaluation du taux de PSA qui reflète à la fois la virulence du cancer et celle de simples microbes actifs dans la prostate: cette combinaison de facteurs rend son interprétation plutôt hasardeuse,
  • le bilan du Centre d’études biologiques Lauriston qui rend compte d’une part du degré d’agressivité d’un éventuel cancer et de l’efficacité immunitaire (et de la digestion)
  • le bilan CEIA qui fait ressortir l’état général du métabolisme

2 « photographie » de la lésion cancéreuse

La photographie la plus précise est donnée par l’IRM. Des IRM effectués à intervalles selon les mêmes procédés (idéalement par les mêmes spécialistes) peuvent faire apparaître une progression ou une régression mesurés au demi-millimètre près.

3 La Perception électro-magnétique directe de l’activité des cellules cancéreuses à un moment donné

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